lundi 14 avril 2008

Fumer une cigarette. Il pleut. Le son du piano me donne l'impression d'être dans un film d'Agnès Jaoui.

samedi 19 janvier 2008

Idéalisme, Utopie d'enfance...



Depuis notre premier cri, on entend parler du prince charmant... Enfant, on le voit partout. Plus grande il se fait rare. Plus tard, on ne l'aperçoit même plus. On nous à radoter toute notre vie qu'il existe, qu'il est beau, charmant, et sympathique. Mais il est absent, même en me baladant dans une ville de millions d'inconnus, je ne le trouve pas. Mais pire, j'y croit encore, toujours persuadée qu'il n'est peut-être pas là mais qu'il est quelque part d'autre. Je le cherche encore, utopiste. On m'a endoctriner, à me faire croire qu'il y avait la perfection, l'âme soeur, le coeur vivant. Je regarde les mannequins de la pub Le mâle de Jean-Paul Gaulthier, une preuve de plus pour m'affaler dans mon lit à ecouter de la musique travaillant ma créativité à imaginer mon existence aérienne et futile. Peu à peu, je deviens idéaliste à chercher cette être exeptionel censé être né pour moi, et à force je ne regarde plus ce que j'ai devant les yeux. A force de s'imaginer cette homme sans défaut, et bien à force on se perd dans la solitude à rêver sa vie sans réellement la vivre. A force, on se tue à petit feu... Sans le savoir, la fin approche, car un jour viendra, il sera trop tard et on comprendera que l'homme en question risque de jamais tomber amoureux de nous, ni même de nous rencontrer...
A force...

P.S: Peut-être que même que l'anorexie n'est pas dûe au mannequins filles trop minces, mais aux mannequins hommes trop beau.

vendredi 4 janvier 2008

Oh! Very too much...


C'est quoi être "punk" à notre époque? Boire du whisky devant sa mère, fumer un tarpet devant la gendarmerie, sécher les cours, décider de tout arrêter, créer un groupe, plus rien manger, quelques centimes dans la poche, un jean troué, une cicatrice à l'arcade, jouer de la guitare, arrêter ses études, baiser tout le monde, ne plus aimer, parler rock'n'roll, composer, imaginer, squatter, insulter, flancher, se défoncer, agoniser, se moquer, aller au concert, ne boire que des bières, ne plus se laver, un air désinvolte, avoir l'air de se foutre de tout, et puis faire de la merde...

C'est ça être punk? Imiter les mecs des années 70's alors qu'on est en 2008?

Non, non, non. Trop de Punk tue le Punk.

lundi 26 novembre 2007

M. You




C'est alors que nous nous endormons dans le même rêve à chaque instant de notre vie. Va chercher l'élu de ton coeur, le trouver et puis rompre. Rupture après rupture, vous recherchez exactement le même prince charmant pour rompre de nouveau. Pourquoi ne pas changer de point de vue sur votre homme iéal, retravailler votre Bible au lieu de continuer à marcher sur le même chemin, sans avoir l'intelligence de faire demi tour et touner à gauche. Peut-être que sortir avec un garcon ou une fille, ne t'aide pas à bifurquer ton idée du stéréotype de l'homme achétype, mais à changer le personnage que tu joues constamment, avec M. Le Prince Charmant. On s'adapte donc à l'image qu'on se fait de l'homme idéal sans vivre avec notre propre alter-égo. Nos rêves ddépassent donc la limite de la réalité. Cela ne t'empêche pas d'aimer, mais tout simplement d'être toi-même. Le fait de devenir une pauvre vielle fille vivant avec 3 chats, et 6 poisssons rouges n'est que le resultat d'un parcours langoureux qui t'a fait enfin admettre que tu ne pouvais absolument pas vivre sans révéler la réelle part de toi-même. Ne pas pouvoir rencontrer l'élu du fait qu'on ne pas changer pour lui. Il ya donc les femmes qui s'apprivoise, et les femmes qui dressent... Assez grotesque comme hypothèse, j'avoue. So, M. You je t'enmerde, déshabille-toi et change complètement que je me fasse une aurte idée de toi, ou sinon c'est moi et les chats. Un point, c'est tout.

vendredi 23 novembre 2007

On ne baise pas avec l'amour...



Je songe à l'enfant,
Baisé par la braise...

Je songe à l'enfant,
Piégé entre vos griffes.
Je songe à l'enfant,
Gémissant entre vos bras.
Je songe à l'enfant,
Agonisant sous vos yeux.

Crevé dans la poussiére,
Piétiné par vos regards,
Lapidé, déchu, et morte.
Je songe l'enfant,
A sa candeur, à sa jeunesse défaite.
Je songe à l'enfant,
Son innocence éternelle.
Je songe à l'enfant,
Qui a tout perdu.
Je songe à l'enfant,
Qui ne vivra plus.
Je songe à l'enfant,
L'enfant morte à jamais.

Je songe à l'enfant,
Baisé par la braise.

dimanche 11 novembre 2007

Fucking Feelings

Je suis tombé amoureuse.

D'un être inaccessible.














Normal, j'en suis pas tombé amoureuse pour rien non plus.

vendredi 9 novembre 2007

La criminelle absurdité règnera jusqu'à la fin des temps...

Nous sommes une balle, un joujou. La vie, c'est la main, ou plutôt les mains, les milliards de mains... Elle a des mains plus agiles que d'autres, il suffit de tomber dans la bonne. Nous sommes tous par terre dès le début, tous l'un à coté de l'autre. Et puis vient un jour, où elle se sert de nous, elle nous lançe dans les airs, nous rattrappe, nous repose ou quelque fois nous garde. Et c'est à ce moment là qu'on se sent réellement exister. Pas parce que nous volons, ni parce qu'elle nous a pris nous et pas un autre, mais tout simplement parce que nous sommes tétaniser à l'idée qu'elle risque de ne pas nous rattrapper et nous laisser tomber par terre, tomber de très haut, tomber puis mourrir, ou du moins avoir des séquelles. One ne veut pas finir par terre, mais on aime le risque. Ce qu'on attend de la vie c'est en fait qu'elle joue avec nous, avec une sécurité la plus incertainne qu'il soit.



Pourquoi désirer l'impossible? Pourquoi vouloir posséder ce qui nous nuit? De l'amour à la haine, de la simplicité au scandale, on a besoin d'éprouver ce sentiment indescriptible, celui qui force les limites, celui qui donne envie de continuer, celui qui nous rend plus puissants et très souvent incrédules...
Fumer un joint, insulter un inconnu, s'embrouiller avec son amoureux, déclarer la guerre pour voir son empire s'accroître d'un espace dispensable. Toutes sortes de façons de le mettre en pratique, de la plus ridicule à la plus infiniment accablante, nous le percevons chacun d'une façon differente mais pourtant universelle. Alors maintenant, la question est: est ce qu'il est important de forcer ses limites pour survivre à son couple, à son avenir, à sa vie? Et la réponse est oui. Création de l'âme obtempéré par l'Homme, nous sommes donc dans le besoin de compromettre notre avenir pour enfin pouvoir subsister et s'éterniser, et cela depuis l'aube jusqu'à la fin des temps...




The Noisettes___ Don't Give Up.

dimanche 21 octobre 2007

Love of the Loveless...


Playground Love, Love is losing game, Crown of Love, Everybody Needs Somebody To Love The Blues Brothers, Alternative To Love, Iif Love Is the Drug Then I Want to Over-Dose, Tainted love, Techno love song, Lets Make Love, You Fucking Love It, Love of the Loveless, I Used To Love Her, Love Potion Number Nine, Somebody To Love, I Love Rock and Roll, Don't You Love Me Anymore, Could You Be Loved, Love Will Tear Us Apart, Got No Love, All Of My Love, Penny Lover, Love Will Find a Way, Penny Lover, Can't Find Love, Love Will Find a Way, Satellite Of Love, True Love Is Blind, Love Is a Place, I Think I'm In Love, The Youngest Was The Most Loved, Love Will Keep Us Together, Love Nest, When I Fall In Love, (I Love You) For Sentimental Reasons, Love Letters, Let There Be Love, Love Will Tear Us Apart, Let There Be Love, She Loves You, I Love You But You're Green, La La Love You, The Desperate Kingdom Of Love, Give me a Reason to Love You, Crazy Little Thing Called Love, Good Old-Fashioned Lover Boy, Too Much Love Will Kill You, Somebody To Love, Crazy Love, Hallelujah, I Love Her So, Ain't That Love, When A Man Loves a Woman, Lovesongs, Lovers In the Backseat, Hey Love, Crazy Little Thing Called Love, I'd Love To Change The World, Crown of Love, All You Need Is Love, Love Me Two Times, Hello I Love You, Streets Of Love, Hide your love, Love in vain, Stand inside your love, Real love, It's True That We Love One Another, Who Loves The Sun, This is for lovers, Love Train....

L'amoureux du son, le son amoureux.

dimanche 2 septembre 2007

Walk On The Wild Side

Y'a des gens dont tu te souviendras encore un peu, pendant longtemps ou jamais. Et y'a des gens, que tu oublieras après beaucoup d'effort, tranquillement, facilement ou automatiquement. Y'a les gens que tu as aimé. Y'a les autres que tu aimes encore. Y'a des gens avec qui tu t'es amusé et y'a des gens avec qui t'as évolué. Y'a des gens qui t'ont apprécié, y'en as d'autre qui se sont réellement interréssé. Y'a des gens qui t'ont parlé et puis y'a ceux qui t'ont écouté. Y'a des gens qui te manque, ms y'en a d'autres qui te sont indispensables. Y'a les gens qui te font rire, d'autres qui te font réfléchir.



Jack, c'est pas un homme, mais pas non plus une femme. Un humain, je sais pas... Mais un être très recherché. Contraire même du bonheur et de l'effet vomitif qu'on ressent lorsqu'on l'a atteint. Non, Jack c'est le(s) émotions(s) (?) qui nous font vivre une sensation plus exeptionelle que la joie qu'on ressent lorsqu'on découvre le cadeau, mais celui de lorsqu'on en rêve. Ce que je veux dire, c'est que Jack c'est pas le moment où tu fumes un joint, c'est le moment où tu le roules. Jack, c'est pas l'acte, c'est le geste. Jack c'est pas le resultat, c'est le parcours. L'effusion de sentiments qui fait palpiter notre pouls à la vitesse lumière, c'est la quête du bonheur, et non le bonheur en lui même. C'est celui qui te donne envie, en te faisaint trembler.
C'est purement et simplement ce subreptice de Jack. Et c'est lui que t'aimes... Même si tu le sais pas encore.